Dans une société où chacun met la résorption du chômage au premier plan des préoccupation de tout citoyen…
Qui donne du travail ? les entreprises…
Qui a envie ou a besoin de donner du travail ? les entreprises….
Qui donne la richesse à la France pour qu’elle puisse redistribuer ? les entreprises ….
Alors expliquez-moi pourquoi des personnes ou groupements «politiquement corrects», extérieurs et sans expérience de la vie quotidienne industrielle, ont la capacité de leur imposer une ligne de conduite, occulte ou officielle ? Au delà de la capacité, qu’en est-il du droit ? Les aider oui, les forcer contreproductif… Tout en veillant scrupuleusement au respect des règles établies, leur mission et leur valeur ajoutée ne peuvent se concevoir que dans une incitation, non dans une coercition.
Il faut donner envie aux entreprises d’embaucher :
-leur laisser une capacité de dynamique qui est en elles et des moyens d’exercer.
-leur donner de l’air (fiscalité, charges, réglementations…)
-former des jeunes et des moins jeunes pour trouver un intérêt à les embaucher, à les garder et à les associer.trouver des dispositifs pour utiliser en appui les seniors au maximum, en fédérant leur capacité et leur enthousiasme (datant de leur expérience des trente glorieuses) en tenant compte de leur capacité et de leur disponibilité
Bref, en manière de création de richesse et de développement de créativité, ne pas contraindre mais laisser la nature s’épanouir En ce moment où toute loi interdit, il faut faire envie, non faire pitié et toute coercition appauvrit. Être attentif au rapport gain/coût est une constante de la mesure de l’efficacité.
Le seul rôle des pouvoirs publics devrait être de contrôler la cohérence d’ensemble et la préservation de l’intérêt particulier, non de s’ingérer dans le fonctionnement économique de la création de richesse.
Le coût de ces organismes, colloques et rapports est hors de proportion avec les avantages qu’ils avancent. Leur nuisance est de plus sans aucune mesure avec l’intérêt de la Nation.
Pour les individus, il en est de même. Intéresser des jeunes à un projet, remotiver des seniors à de nouveaux challenges est source de richesses exponentielles à la condition de laisser l’individu espérer dans sa capacité de faire. Les contraindre dans un projet qui n’est pas le leur est tout aussi contreproductif que pour le reste de toute action humaine.
Dans une France laïque et soucieuse d’égalité, il faut laisser sa chance à chacun, riche ou pauvre, favorisé par la nature ou en quête de reconnaissance. Chacun a intérêt et vocation à participer à son épanouissement personnel et à l’éclosion d’une solidarité collatérale.
Aider ne consiste pas à s’ingérer dans la vie personnelle.
Il faut séparer le souci de l’autre à titre personnel (pour le dépanner) et l’assistance à une classe (pour l’émanciper)
Ne pas opposer culture et érudition : nos ancêtres paysans, à l’instar de chaque être au départ, incultes et souvent analphabètes, avaient en eux la culture de leur environnement. L’érudition est un atout pour progresser dans une société en devenir, non pour gérer le bien de vivre.
La compassion ne doit pas exister tout azimut. Seuls la solidarité collective à des groupes «opprimés» et l’aide à la personne «personnalisée» au cas par cas sont à considérer.